Il n'est vraiment pas possible de VIVRE en restant coincé par ses propres misères, donc : l'espace céleste et intérieur se rejoignent en un lâcher prise, sans émoi petit mais avec le goût de la liberté, toujours indicible, puis l'on disparaît dans toutes les formes de beauté, immortels.
jeudi 23 juillet 2009
Inscription à :
Articles (Atom)